ne connaissent aucune baisse. Alors que les salaires n’ont aucune augmentation. N’en parlons pas des prix des carburants. Depuis presque une année, les prix à la pompe demeurent le même. Conséquence: les prix des transports prennent l’ascenseur. Sans aucune concertation avec le gouvernement et les associations des consommateurs, les compagnies de transport ont fixé les prix de transport dans leurs intérêts.
Et pour ne pas arranger les choses, le pays est pris en otage par des coupures d’électricité dues uniquement à la volonté d’une mafia politico- militaire et économique, animée par le seul souci de grappiller les fonds publics et de faire souffrir les Maliens. Et aujourd’hui, ils n’ont que leurs yeux pour pleurer. Toutes les activités économiques du pays sont presque à l’arrêt, faute de fourniture d’électricité aux consommateurs.
Quant à l’insécurité, elle devient un casse-tête. Des gens sont dépossédés de leurs biens. D’autres sont tués. Les crimes passionnels sont monnaie courante. On assiste à ces derniers à l’assassinat odieux des épouses par leurs conjoints. Les disparitions et enlèvements des enfants, des malades mentaux sont tellement fréquents qu’ils ne s’offusquent personne. Tous ces crimes se passent dans l’impunité la plus totale, laissant le citoyen sans défense.
Cela n’est pas surprenant. Dans la mesure où le gouvernement, au lieu de sélectionner les urgences pour faire face, s’est attaqué à tous les problèmes légués par les démocrates voleurs dont l’ambition était de se servir dans les caisses de l’État. Et avec un Premier ministre populiste, l’administration demeure la même. Aucun changement n’est constaté. Il suffisait d’une dose d’intelligence pour satisfaire certaines attentes des Maliens. Mais Choguel K. Maïga, Premier ministre, a voulu autrement. Il tourne le peuple malien en bourrique et se satisfait de ses discours populistes et propagandistes en tenant responsable ses alliés politiques d’hier du délitement de l’État malien. Alors que lui-même fut un artisan majeur dans ce gangstérisme contre notre pays. Résultat: le surplace. Le pays ne bouge presque pas sur aucun plan.
L’heure est arrivée de changer de pas de danse pour mettre les Maliens au travail. Sans lequel aucune nation ne peut se développer.
Yoro SOW
ne connaissent aucune baisse. Alors que les salaires n’ont aucune augmentation. N’en parlons pas des prix des carburants. Depuis presque une année, les prix à la pompe demeurent le même. Conséquence: les prix des transports prennent l’ascenseur. Sans aucune concertation avec le gouvernement et les associations des consommateurs, les compagnies de transport ont fixé les prix de transport dans leurs intérêts.
Et pour ne pas arranger les choses, le pays est pris en otage par des coupures d’électricité dues uniquement à la volonté d’une mafia politico- militaire et économique, animée par le seul souci de grappiller les fonds publics et de faire souffrir les Maliens. Et aujourd’hui, ils n’ont que leurs yeux pour pleurer. Toutes les activités économiques du pays sont presque à l’arrêt, faute de fourniture d’électricité aux consommateurs.
Quant à l’insécurité, elle devient un casse-tête. Des gens sont dépossédés de leurs biens. D’autres sont tués. Les crimes passionnels sont monnaie courante. On assiste à ces derniers à l’assassinat odieux des épouses par leurs conjoints. Les disparitions et enlèvements des enfants, des malades mentaux sont tellement fréquents qu’ils ne s’offusquent personne. Tous ces crimes se passent dans l’impunité la plus totale, laissant le citoyen sans défense.
Cela n’est pas surprenant. Dans la mesure où le gouvernement, au lieu de sélectionner les urgences pour faire face, s’est attaqué à tous les problèmes légués par les démocrates voleurs dont l’ambition était de se servir dans les caisses de l’État. Et avec un Premier ministre populiste, l’administration demeure la même. Aucun changement n’est constaté. Il suffisait d’une dose d’intelligence pour satisfaire certaines attentes des Maliens. Mais Choguel K. Maïga, Premier ministre, a voulu autrement. Il tourne le peuple malien en bourrique et se satisfait de ses discours populistes et propagandistes en tenant responsable ses alliés politiques d’hier du délitement de l’État malien. Alors que lui-même fut un artisan majeur dans ce gangstérisme contre notre pays. Résultat: le surplace. Le pays ne bouge presque pas sur aucun plan.
L’heure est arrivée de changer de pas de danse pour mettre les Maliens au travail. Sans lequel aucune nation ne peut se développer.
Yoro SOW
Inter de Bamako