violences basées sur le genre. Ce panel a été animé par l’artiste peintre, Maimouna Touré. Cette dernière définit la VBG comme une violation des droits humains. « C’est une manifestation des rapports de pouvoir qui existe entre la femme et l’homme. La victime n’est pas responsable de ces violences, peu importe le motif, l’agresseur n’a pas droit à porter atteinte à son intégrité physique ni psychologique. En aucun cas la violence n’est justifiable », a-t-elle affirmé.
Dans les solutions qu’elles préconisent face ce phénomène inquiétant, la panéliste propose qu’on s’attaque aux sources de ces violences. Pour elle, chaque période a ses réalités. Elle se dit favorable à la mise en place régulière des émissions télévisées et radiophoniques pour lutter contre les VBG. « Il faut plus de sensibilisation et la prise des sanctions sévères contre ceux qui s’adonnent aux violences à l’égard des femmes », a-t-elle dit.
Sidiki Dembélé
Source : Le Républicain