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En effet, Abdoulaye Maïga a rappelé dans son discours que le chef d’État malien avait choisi “l’option de privilégier l’appropriation nationale du processus de paix en donnant toutes ses chances à un dialogue direct inter-malien afin d’éliminer les racines du conflit communautaire et intercommunautaire”.
Des reproches réciproques
En décembre dernier, le chef de la diplomatie malienne a convoqué l’ambassadeur algérien pour des “actes inamicaux” et l’”ingérence dans les affaires intérieures”. Cette convocation a fait suite à la rencontre entre le Président algérien Abdelmadjid Tebboune et l’imam Mahmoud Dicko, une importante figure malienne qui critique les autorités de transition.
Alger a à son tour convoqué l’ambassadeur malien. Le ministre algérien des Affaires étrangères lui a signalé que les rencontres reprochés par Bamako s’inscrivaient en réalité dans les efforts visant …Lire la suite sur Sputnik
Source : Sputnik