préoccupe tous les acteurs », a déclaré Dr Soumaré. Selon une estimation de Plan International, 246 millions d’enfants et d’adolescents connaîtraient chaque année la violence dans et aux abords de l’école. Dr Soumaré a fait savoir que les violences en milieu universitaire sont de plus en plus un phénomène préoccupant. Le CRS –AS /AEEM est disposé à s’impliquer de façon bénévole pour la recherche de solution à la violence car les premiers perdants sont les élèves et étudiants. Le CRS –AS/AEEM est résolument engagé à contrôler et bannir la violence en milieu scolaire et universitaire. « Le CRS –AS/AEEM est convaincu la dissolution de l’AEEM n’est pas la solution d’un phénomène sociétale plus complexe et chronique. C’est pourquoi nous invitons nos débatteurs d’être dans des propositions de solutions pour qu’à la fin de cet atelier que nous puissions faire des recommandations fortes pour une sortie de crise honorable. Enfin, permettez de moi de dire officiellement ici et sans aucune ambiguïté, que le Cercle de Réflexion des Anciens et Sympathisants (CRS-AS-AEEM) est opposé et rejette catégoriquement la dissolution de l’AEEM annoncée par les autorités en charge de la Transition. En effet, le CRS-AS AEEM compte s’impliquer afin de contribuer aux recours à tous les moyens légaux et démocratiques pour faire annuler cette décision de dissolution de l’AEEM », a conclu Dr Modibo Soumaré.
Aguibou Sogodogo
Source : Le Républicain