fonds social dans toutes leurs Entreprises ; la mise en œuvre du point 12 du protocole d’accord du 22 juillet 2023 relatif à la diligence de la mise en place et la relecture des accords d’établissements ; la mise en place d’une commission tripartie (SYNABEF, Direction générale PMU Mali et revendeur) pour examiner et inscrire les travailleurs revendeurs à l’INPS et à l’AMO ; l’instauration d’un plan de carrière dans l’ensemble de leurs Entreprises. Le secrétaire général du SYNABEF exige la satisfaction de ces différents points de revendication. A défaut, dit-il, le Syndicat se réserve le droit de déposer un préavis de grève. «Nous allons préparer notre préavis de grève et nous allons le déposer », a-t-il dit. Son adjoint, Abdoulaye Keïta n’écarte pas une grève illimitée. Selon lui, le SYNABEF est plus puissant aujourd’hui qu’hier. En cas de grève du SYNABEF, dit-il, l’économie du pays sera totalement paralysée.
A.S
Source : Le Républica