L’attentat de Grand-Bassam en mars 2016, a laissé des traces. Les ivoiriens savent, désormais que leur pays n’est pas l’abri d’une attaque terroriste. La découverte de groupes terroristes au Burkina Faso et au Mali (pays limitrophes de la Côte d’Ivoire) ne fait qu’accentuer les risques actes terroristes. Averties, les autorités ivoiriennes affirment avoir l’œil rivé sur les frontières à hauts risques.
Un an après les attaques terroristes qu’a connu la Côte d’Ivoire, d’autres menaces planent. Les frontières ivoiro-malienne et ivoiro-burkinabé sont sous hautes surveillances. Car dans ces deux pays frères de la Côte d’Ivoire résident des groupes terroristes. Ceux-ci ont dans leurs lignes de mire la terre d’Eburnée.
De nombreuses attaques terroristes au Burkina Faso et au Mali doivent interpeler les autorités ivoiriennes sur les dangers qui volent sur l’Afrique de l’Ouest. Une chose est certaine, tous les 16 Etats de la CEDEAO sont exposés à une attaque terroriste.
Prévenus du danger, les autorités de la Côte d’Ivoire sont vigilantes. Elles se sont engagées dans la guerre contre le terrorisme à l’intérieur et hors des frontières ivoiriennes. Selon certains observateurs politiques de la sous-région, la Côte d’Ivoire est visée par les prochaines attaques terroristes.
Source: Imatin
