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En un mot : Radicalisation

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mot Radicalisation

Au début de la contestation du projet de la réforme de la Constitution, on évoquait la situation d’insécurité. Après, c’est le retrait pur et simple qui a été demandé. La dernière revendication est pour la fin du régime.

La révision constitutionnelle divise même la majorité présidentielle. Alors que le Cnid de Me Mountaga Tall, le MPR de Choguel Kokala Maïga et une partie de l’Adéma proposent une seconde lecture du projet de loi constitutionnelle, le chef de l’Etat semble opter pour le bras de fer. IBK prétexte des engagements internationaux pour maintenir le référendum en l’état. Ce faisant, il se rend esclave de la communauté internationale et méprise le cri du cœur de son peuple.

En retirant le projet ou en le soumettant à une seconde lecture, IBK ne s’affaiblira point. Bien au contraire. En tant que principal garant de la paix, de la sécurité et de la concorde nationale, il joue son avenir aujourd’hui plus que jamais. Après tout ne dit-on pas qu’il vaut mieux avoir affaire à Dieu qu’à ses saints ?

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DAK

Source: L’Indicateur du Renouveau 

Au début de la contestation du projet de la réforme de la Constitution, on évoquait la situation d’insécurité. Après, c’est le retrait pur et simple qui a été demandé. La dernière revendication est pour la fin du régime.

La révision constitutionnelle divise même la majorité présidentielle. Alors que le Cnid de Me Mountaga Tall, le MPR de Choguel Kokala Maïga et une partie de l’Adéma proposent une seconde lecture du projet de loi constitutionnelle, le chef de l’Etat semble opter pour le bras de fer. IBK prétexte des engagements internationaux pour maintenir le référendum en l’état. Ce faisant, il se rend esclave de la communauté internationale et méprise le cri du cœur de son peuple.

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