A l’approche de la fête de Tabaski, il est difficile de se frayer un chemin dans la capitale. Entre le mauvais état des routes et les embouteillages, les usagers ont du mal à se mouvoir convenable. La situation est telle que plusieurs axes sont devenus impraticables en cette période de grande mobilité. Un tour devant la Gare routière de Sogoniko permet de se faire une idée de la misère des conducteurs routiers.
Le triste constat aujourd’hui est que cette partie de la ville est engorgée du fait du nombre croissant de véhicules et motos, mais aussi et surtout la floraison de gares routières. A ce propos, il y a lieu de s’interroger sur les critères qui ont prévalu pour que les autorités municipales délivrent des autorisations d’installation de gares routières à l’intérieur de la capitale.
La forte affluence constatée à la veille de la fête dans ces gares et les désagréments causés aux autres usagers de la route imposent un changement d’emplacement. Pourquoi ne pas créer des espaces aux sorties de Bamako uniquement pour ces compagnies de transport ? C’est une exigence de l’heure qui interpelle, en plus des municipalités, l’Etat.
mot Embouteillages
DAK
Source: L’Indicateur du Renouveau
Le triste constat aujourd’hui est que cette partie de la ville est engorgée du fait du nombre croissant de véhicules et motos, mais aussi et surtout la floraison de gares routières. A ce propos, il y a lieu de s’interroger sur les critères qui ont prévalu pour que les autorités municipales délivrent des autorisations d’installation de gares routières à l’intérieur de la capitale.