Découvertes fosses communes L’Armée ouvre enquête
Que s’est-il passé le 13 juin dernier à Nantaka et Kobaka, deux localités maliennes situées non loin de Mopti, de l’autre côté du fleuve Niger ? Trois fosses communes auraient été découvertes à quelques kilomètres des deux villes. Vingt-cinq corps en tout ; vingt-cinq Peuls. L’armée serait responsable de ce massacre, selon des témoins cités par RFI.
Contactés aussi par la radio française, le porte-parole du gouvernement et le ministre de la Défense déclarent qu’une enquête a été ouverte. Le chef d’état-major est saisi. Mais les deux responsables affirment d’ores et déjà que « l’armée n’est pas impliquée dans ces événements, s’ils s’avèrent vrais ».
La rédaction
Découvertes fosses communes L’Armée ouvre enquête
Source : L’Indicateur Du Renouveau
Que s’est-il passé le 13 juin dernier à Nantaka et Kobaka, deux localités maliennes situées non loin de Mopti, de l’autre côté du fleuve Niger ? Trois fosses communes auraient été découvertes à quelques kilomètres des deux villes. Vingt-cinq corps en tout ; vingt-cinq Peuls. L’armée serait responsable de ce massacre, selon des témoins cités par RFI.
Contactés aussi par la radio française, le porte-parole du gouvernement et le ministre de la Défense déclarent qu’une enquête a été ouverte. Le chef d’état-major est saisi. Mais les deux responsables affirment d’ores et déjà que « l’armée n’est pas impliquée dans ces événements, s’ils s’avèrent vrais ».
La rédaction
Que s’est-il passé le 13 juin dernier à Nantaka et Kobaka, deux localités maliennes situées non loin de Mopti, de l’autre côté du fleuve Niger ? Trois fosses communes auraient été découvertes à quelques kilomètres des deux villes. Vingt-cinq corps en tout ; vingt-cinq Peuls. L’armée serait responsable de ce massacre, selon des témoins cités par RFI.
Contactés aussi par la radio française, le porte-parole du gouvernement et le ministre de la Défense déclarent qu’une enquête a été ouverte. Le chef d’état-major est saisi. Mais les deux responsables affirment d’ores et déjà que « l’armée n’est pas impliquée dans ces événements, s’ils s’avèrent vrais ».
La rédaction