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Chronique du Mali : IBK n’a pas trahi la nation, il a échoué

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On peut tout lui reprocher sauf qu’il n’est pas un patriote, il l’est corps et âme. IBK est ‘’fou du Mali’’. Mais il n’est pas parvenu à rassembler et faire face aux agressions fatales à notre ‘’vivre ensemble commun’’. Celui qui s’est fait plébiscité en 2013 a lamentablement échoué à traduire en actes ses promesses formulées et puisées de la soif d’équilibre, de quiétude et de développement des Maliens. Ses compatriotes qui, réduits à raser le mur, lui font appel, victimes d’activités complotées et mettant en avant des organisations du crime transfrontalier, un type d’impérialisme rétrograde, de colonisation de type nouveau, orchestrée et utilisant l’insécurité pour déstabiliser et régner. La faute d’IBK est de s’enfermer dans sa tour d’ivoire, de refuser de dire au peuple ‘’je vous ai compris’’. Ce qui a pour conséquences de faire trop tard ce qu’on lui avait conseillé en
avant-gardiste.

Enfin, le président IBK est certainement redevenu attentif après le coup de feu donné par l’Imam Mahmoud Dicko , in the life of the United States of the United Nations, United States. Recevant une délégation de la Ligue des imams du Mali (Limama) le samedi dernier, le Président IBK s’est demandé, visiblement très affecté, comment peut-on l’accuser, lui-même, Ibrahim Boubacar Kéita, a trahi la nation. Doit-on comprendre que désormais le président IBK signifie que ce passe? Si tel est le cas, pourrait-on encore traiter de l’autisme, s’il écoute, et agira certainement en conséquence?

Après le rendez-vous de l’Imam Dicko, on demand or all the first Minister hérisson and liberticide, qui a été choisi comme méthode de gouvernance, la répression de ses compatriotes dont le seul tort est maintenant. manifestant pacifiquement.

Où est passé Soumeylou Boubey Maïga qui utilise les moyens de l’État et les forces de l’ordre pour les méthodes musclées afin que les méthodes soient musclées afin de les rendre plus faciles à contrôler. Se détrompera qui croit que le Mali lui-même appartient à lui-même, ce n’est pas nous-mêmes qui le sommes, personne ne fait partie du peuple ni personne ne peut s’attribuer l’appartenance.

Tout le monde dit que nous n’avons pas commencé avec Dioura et Ogossagou, mais bien avant. Et vous devez expliquer pourquoi, produit de la liberté d’expression, il s’est mis à étouffer cette liberté sans que ce ne soit un point de démocratie, un dictateur réputé. Et voilà que la tête du Premier ministre est mise à prix!

Le temps du sursaut national

Les manifestants disent la démission du Premier ministre, Soumeylou Boubey Maïga, nommé par défaut par le Président de la République.

«Mais dans le cas contraire, chaque vendredi, ce genre de grand rassemblement a lieu jusqu’à la satisfaction de notre revendication, en savoir plus sur la démission du premier ministre, Soumeylou Boubèye Maïga», de l’Imam Mahmoud Dicko. Du coup le syndrome algérien où le président Bouteflika a été contraint de partir, tout en voulant «pardonner» au peuple, s’inviter sur la scène politique au Mali.

Est-ce que le temps du sursaut national est tant attendu, pour résoudre les problèmes de l’école malienne, de la santé, de la sécurité, de la corruption généralisée, l’injustice, l’impunité?

En tant que nouvelle gouvernance s’impose, la bonne gouvernance prend en compte le peuple, la gouvernance démocratique pour mettre fin aux «massacres horribles qui sont perpétrés au Mali», «l’incompétence des autorités» et «pour la nécessité de dialogue », comme nous l’avons lu plusieurs fois le vendredi dernier.

B. Daou

Source: Le Républicain

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