Les attaques contre le camp de Boulkessi et le poste militaire de Mondoro, ayant fait 38 morts dans les rangs des Forces armées du Mali (FAMA), continuent de susciter des réactions. Dans un communiqué parvenu hier à notre Rédaction, la Cour constitutionnelle condamne ces actes criminels, « constitutifs de graves violations des droits de la personne humaine proscrits par la Constitution du 25 février 1992 et l’ensemble des instruments juridiques internationaux de protection des droits humains».
L’institution réaffirme son soutien à nos vaillants soldats et salue les efforts fournis par le gouvernement dans la pacification du territoire national. Aussi, encourage-t-elle les autorités «à rechercher, arrêter et traduire devant les juridictions nationales, voire internationales les auteurs et complices desdits actes».
L’essor