De l’ostracisme au XI de départ à l’ostracisme à nouveau. C’est l’histoire de Vinicius en une année pleine de doutes à son sujet, mais face à l’Espanyol, l’ailier est revenu et pourrait enfin sourire.
Cela fait 28 jours qu’il n’a pas joué pour le Real Madrid: le 9 novembre à Eibar. Cela fait presque un mois, la plus longue période où il n’a pas joué en raison de la décision du manager depuis ses débuts.
Vinicius n’a pas joué dans 8 des 20 matchs joués par Madrid cette saison, mais les problèmes ont commencé en octobre et se sont accentués en novembre quand il a commencé à rester sur le banc ou même à exclure l’équipe. Ce mois-là, il n’a joué que deux fois, a été exclu de l’équipe en 3 et n’a pas évolué dans l’autre, contre Alavés.
Pour voir une absence si prolongée de Vinicius, il faudrait revenir à la saison dernière alors qu’il faisait encore son nom dans la première équipe. Après avoir fait ses débuts à la Wanda Metropolitano contre l’Atlético et avoir joué contre Alavés, le Brésilien est revenu en Castille et a été laissé sur le banc du Clásico ‘. Il est revenu contre Eibar le 24 novembre, également 28 jours plus tard .
L’apparition de Rodrygo a conduit à la disparition progressive de Vinicius des plans de Zinedine Zidane, mais contre Espanyol est venue l’occasion. Sans Hazard, sans Bale et sans Lucas Vázquez , il est réapparu aux côtés de Rodrygo, jouant tous les deux aux côtés de Karim Benzema devenu le leader de la nouvelle attaque madrilène.
Vinicius a joué 85 minutes et a montré qu’il était plus à l’aise, plus en pause et plus vertical comme toujours. Avec ses problèmes inhérents devant le but, mais de retour à la couleur, il a montré dans ses meilleurs moments dans une chemise du Real Madrid. Militao est venu le chercher et il est parti faire une ovation debout au Bernabéu.
Zidane a de retour Bale pour le match de Bruges, mais ‘Marca’ assure que Vinicius recommencera en Belgique, où il aura une autre chance de se ressourcer, toujours aux côtés de Benzema, et il reste à voir s’ils seront avec Rodrygo ou Bale .
