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Le Maroc, la botte secrète de l’Ue pour déstabiliser la Cedeao ?

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«Le Maroc a des contrats avec des entreprises de l’Union européenne. S’il réussit à intégrer la Ceedao, les entreprises occidentales auront les mêmes droits que les entreprises marocaines de s’installer et de vendre leurs produits par le biais des entreprises marocaines». Telle est la mise en garde formulée par Babacar Bâ, président du Forum du justiciable et panéliste sur le thème :

«L’adhésion du Maroc à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, quels impacts probables et prévisibles sur le Sénégal», organisé hier à l’amphithéâtre 3 de la Faculté des lettre et sciences humaines de l’Ucad, Babacar Bâ estime que l’Afrique de l’ouest a toute à perdre avec une éventuelle adhésion qui nuirait gravement à son économie.

Avec le libre-échange, «nos matières premières vont être transportées vers le Maroc, ensuite vers l’Union européenne», met-il en garde dans le quotidien Les Echos. Ce qui revient, selon lui, à donner aux entreprises européennes les mêmes droits que les entreprises marocaines de s’installer et vendre leurs produits par le biais de ces dernières.

 

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«Le Maroc a des contrats avec des entreprises de l’Union européenne. S’il réussit à intégrer la Ceedao, les entreprises occidentales auront les mêmes droits que les entreprises marocaines de s’installer et de vendre leurs produits par le biais des entreprises marocaines». Telle est la mise en garde formulée par Babacar Bâ, président du Forum du justiciable et panéliste sur le thème :

«L’adhésion du Maroc à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, quels impacts probables et prévisibles sur le Sénégal», organisé hier à l’amphithéâtre 3 de la Faculté des lettre et sciences humaines de l’Ucad, Babacar Bâ estime que l’Afrique de l’ouest a toute à perdre avec une éventuelle adhésion qui nuirait gravement à son économie.

Avec le libre-échange, «nos matières premières vont être transportées vers le Maroc, ensuite vers l’Union européenne», met-il en garde dans le quotidien Les Echos. Ce qui revient, selon lui, à donner aux entreprises européennes les mêmes droits que les entreprises marocaines de s’installer et vendre leurs produits par le biais de ces dernières.

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