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Cote d’Ivoire/Mali : lutte commune contre le terrorisme

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Le président Alassane Ouattara accueille son homologue malien Ibrahim Boubacar Keïta, sur le tarmac de l'aéroport Félix-Houphouët Boigny à Abidjan, le 10 mai 2018.
Cote d’Ivoire Mali lutte commune contre terrorisme

 

La Côte d’Ivoire et le Mali renforcent leur coopération judiciaire dans la lutte contre le terrorisme.

Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, en visite de 48 h en Côte d’Ivoire et le président ivoirien Alassane Ouattara ont conclu vendredi un accord pour faciliter les entre les deux pays.

L’accord concerne particulièrement les personnes suspectées d’actes liés au terrorisme.

Le texte signé entre les deux pays pose ainsi les d’une nouvelle coopération judiciaire entre les deux pays.

La crise sécuritaire dans la région, avec le terrorisme, est la principale motivation de cette nouvelle coopération judiciaire.

Au lendemain de l’attentat terroriste de Grand-Bassam en 2016, revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique Aqmi, le groupe avait notamment évoqué comme motifs des « représailles » l’extradition par Abidjan de sept jihadistes soupçonnés d’avoir participé à d’autres attaques, notamment celle de Misséni.

Cote d’Ivoire Mali lutte commune contre terrorisme

 

Source : BBC

La Côte d’Ivoire et le Mali renforcent leur coopération judiciaire dans la lutte contre le terrorisme.

Le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, en visite de 48 h en Côte d’Ivoire et le président ivoirien Alassane Ouattara ont conclu vendredi un accord pour faciliter les entre les deux pays.

L’accord concerne particulièrement les personnes suspectées d’actes liés au terrorisme.

Le texte signé entre les deux pays pose ainsi les d’une nouvelle coopération judiciaire entre les deux pays.

La crise sécuritaire dans la région, avec le terrorisme, est la principale motivation de cette nouvelle coopération judiciaire.

Au lendemain de l’attentat terroriste de Grand-Bassam en 2016, revendiqué par Al-Qaïda au Maghreb islamique Aqmi, le groupe avait notamment évoqué comme motifs des « représailles » l’extradition par Abidjan de sept jihadistes soupçonnés d’avoir participé à d’autres attaques, notamment celle de Misséni.

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